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Première mondiale à Alken : le centre de recherche teste un traitement amélioré à base d'anticorps contre la variante omikron

Le centre de recherche Anima d'Alken participera bientôt à une nouvelle étude sur un traitement amélioré par anticorps contre le coronavirus. Cette injection supplémentaire, en plus du vaccin, devrait protéger de manière adéquate les patients les plus vulnérables contre la variante omikron du virus de la covidie : une première mondiale.

Le centre de recherche Anima testera le nouveau traitement par anticorps pour le compte de la société pharmaceutique AstraZeneca. Les premiers résultats de l'étude devraient être disponibles à l'automne. Notre pays se lancera alors dans la cinquième campagne de vaccination contre le coronavirus.

Le centre de recherche Anima d'Alken va tester un nouveau traitement pour lutter contre la variante Omikron du coronavirus.

Le centre de recherche Anima d'Alken va tester un nouveau traitement par anticorps. Ce vaccin supplémentaire devrait protéger la partie la plus vulnérable de la population contre la variante Omikron du coronavirus. Cette information a été rapportée par TV Limburg et confirmée à notre rédaction.

Les patients dont le système immunitaire est affaibli n'auront pas besoin d'une cinquième vaccination à l'automne pour se protéger contre la variante Omikron du coronavirus. C'est pourquoi l'entreprise pharmaceutique AstraZeneca travaille sur un nouveau traitement à base d'anticorps. Le centre de recherche Anima d'Alken collabore à cette recherche.

"Le traitement par anticorps actuellement administré aux patients vulnérables ne fonctionne pas contre la variante Omikron. Il faut donc concevoir des anticorps plus efficaces et plus récents", explique le chercheur principal, Erik Buntinx, du Centre de recherche Anima.

"Un tel traitement par anticorps est nécessaire pour toutes les personnes dont le système immunitaire est déficient. Des recherches récentes menées à l'UZ Leuven montrent qu'une vaccination est certes utile, mais pas suffisante pour ces personnes. Il suffit de penser aux patients atteints de cancer, aux patients souffrant de troubles immunitaires tels que les patients atteints de la maladie de Crohn ou aux personnes qui doivent prendre des immunosuppresseurs dans le cadre, par exemple, d'une transplantation. Cela concerne certainement environ cinq pour cent de la population, car cette étude porte également sur des jeunes", énumère M. Buntinx.

Au total, 700 candidats de différents pays participeront à l'étude. L'étude débutera dans la deuxième quinzaine de juillet et se poursuivra tout au long de l'été. Le Centre de recherche Anima espère trouver entre 40 et 100 personnes.

Source : https://www.vrt.be/vrtnws/nl/2023/06/28/anima-research-center/




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